Le ciel a encore fondu ce soir.
Il est impossible de relire.
Revoir et imprévoir.
Sortir et sentir la partition de ton amour.
Le rire sortilège est marbré d’ambition.
Le tonnerre de tes soupirs éclaire mes spasmes.
Fuir ce chemin trop lisse.
Lire ton corps, hanches magnifiques, cheveux en rire.
Laisser libre mes caresses sur la déesse.
J’ancre mes lèvres au creux de ton intimité
Je rends l’âme serré de tes cuisses.
Literie ineffable, patience terminale.
Je résulte de tout ces draps noués autour de nous.
Un jour se lève, pourquoi ?
J’absente ta douceur de louve.
Je soupire sous tes crocs.
J’aspire mon plaisir,
Rauque et puissant.
Fondre sous la chaleur de tes étreintes.